Nouvel An

Publié le par anne-marie

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ORIGINE

La tradition du Nouvel An remonte à Babylone, 2000 avant J.-C. Cette fête avait lieu au printemps pour honorer le dieu Mardouk qui protégeait les récoltes. À Rome, en 46 avant J.-C., Jules César reporte le nouvel an au 1er janvier et pour cela il créa une année de 445 jours puis cette tradition disparut et reprit au Moyen Âge à des dates différentes selon les pays : les Anglais fêtaient le nouvel an en mars, les Français le fêtaient le dimanche de Pâques et les Italiens le fêtaient à Noël.

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Pourquoi s'embrasse-t-on sous le gui ?

Décorer sa maison de gui est une coutume héritée des peuples celtes, qui peuplaient la France avant l'invasion des romains. Le gui, un parasite du chêne, est à l'époque réputé pour ses vertus de protection. Décorer sa maison de gui, c'est la protéger contre les mauvais sorts, et préserver la santé de ses habitants.

La coutume s'est poursuivie depuis l'époque celtique. Elle a rejoint une autre superstition, qui voulait que les fiancés qui allaient se marier dans l'année s'embrassent sous une boule de gui. Le rite actuel hérite de cette superstition : s'embrasser sous le gui assurerait amour, santé et protection pour l'année à venir.

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Pourquoi distribue-ton des étrennes au Nouvel An ?

Dans la Rome Antique, on a pour coutume d'échanger des dons (strenae) pendant les Saturnales, fêtes dont sont partiellement issus Noël et le Nouvel An occidentaux. Ces dons peuvent prendre la forme d'argent ou de petits cadeaux.

Si les cadeaux sont devenus l'un des symboles de Noël, le Nouvel An est l'occasion de remettre un peu d'argent aux personnes qui assurent le bon déroulement de l'année (concierges, pompiers, ...).

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D'où vient la tradition des cartes de vœux ?

Avant 1840 et l'apparition du premier timbre-poste, le meilleur moyen de présenter ses vœux était de rendre visite à la personne à qui on voulait souhaiter une bonne année. Ainsi, toute la famille effectuait, pendant les quinze premiers jours de janvier, ses visites du nouvel an. On allait voir son entourage proche (famille et amis), ses voisins, ses collègues... et même son patron.

De plus en plus courtes, ces visites sont remplacées, dès que le fonctionnement des services postaux s'organise, par l'envoi de cartes décorées de symboles de chance et de bonheur, sur lesquelles sont imprimées des formules de vœux. 

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Mes souvenirs d'enfance remontent à la surface, le jour de l'an, il était de coutume d'aller présenter ses voeux aux proches de la famille, grand-parents, oncles et tantes cousins cousines, je me souviens de parties de cartes que mon père et ses frères jouaient chez leur soeur, le soir venu toute la famille se réunissait chez nous, les hommes d'un côté avec leur traditionnelle partie de cartes, les femmes d'un côté discutant de tout et de rien, et les jeunes de l'autre jouant ou dansant, mais aussi aux mémorables batailles de boules de neige, car nous avions des hivers blancs et froids.

A tous je présente tous mes voeux de bonne et heureuse année 2007, qu'elle soit remplie de joie et de bonheur.

 

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Publié dans fêtes - coutumes

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